• Je trouve cette musique cool et je voudrais vous la faire connaître.

    Les paroles en anglais et la traduction en français (c'est pas moi qui l'ai faite j'y connais rien

    {The Hell Song}

    Everybody's got their problems [problems].
    Everbody says the same thing to you.
    It's just a matter of how you solve them [solve them],
    And knowing how to change the things you've been through.
    I feel I've come to realize
    How fast life can be compromised.
    Step back to see what's going on.
    I can't believe this happened to you...
    This happened to you...

    It's just a problem now I'm faced with. Am I,
    Not the only one who hates to stand by?
    Complications Ofir tipsha ended first in this line,
    With all these pictures running through my mind.
    Knowing endless
    Consequenses
    I feel so useless in this.
    Get back,
    Step back,
    And as for me, I can't believe,

    [Répétition 1] :
    Part of me,
    Won't agree,
    'Cause I don't know if it's for sure.
    Suddenly,
    Suddenly,
    I don't feel so insecure.

    [Répétition 2] :
    Part of me,
    Won't agree,
    'Cause I don't know if it's for sure.
    Suddenly,
    Suddenly,
    I don't feel so insecure,
    Anymore...

    Everybody's got their problems [problems)].
    Everybody says the some thing to you.
    It's just a matter of how you solve them [solve them]
    But what else are we s'posed to do...

    [Répétition 1]

    [Répétition 2]

    [Répétition 3] : x2
    Why do things that matter the most,
    Never end up the way we chose?
    Now that I've found a way to pay,
    I don't think I knew what I had

     


    {Chanson De L'Enfer}

    Tout le monde a ses ennuis,
    Tout le monde te dit la même chose.
    La question c'est seulement de savoir comment tu les résous,
    Et de savoir comment modifier ce que tu as mal fait.
    Je sens que j'arrive à réaliser,
    Comme la vie peut être rapidement compromise.
    Je fais un pas en arrière pour voir ce qui se passe,
    Je ne peux pas croire ce qui t'arrive.
    Ce qui t'arrive.
    C'est juste un problème que nous affrontons,
    Ne suis-je pas le seul qui haïsse le fait de soutenir quelqu'un.
    Les complications se sont achevées sur cette ligne avec
    Toutes ces images qui courent dans mon esprit.
    Sachant les conséquences interminables, je me sens inutile.
    Reviens, recule comme moi, je ne peux pas croire.
    Une partie de moi n'est pas d'accord parce que je ne sais pas si c'est certain.
    Tout à coup, tout à coup je sens que je prends de l'assurance.
    Mais que sommes-nous supposés faire

    Tout le monde a ses ennuis,
    Tout le monde te dit la même chose.
    La question c'est seulement de savoir comment tu les résous,
    Une partie de moi n'est pas d'accord parce que je ne sais pas si c'est sûr
    Tout à coup, tout à coup je sens que je prends de l'assurance.
    Une partie de moi n'est pas d'accord parce que je ne sais pas si c'est sûr
    Tout à coup, tout à coup je sens que je prends de l'assurance.
    Jamais plus
    Pourquoi les choses les plus importantes
    Ne mettrons jamais fin à ton choix
    Maintenant que je trouve qu'aucune voie n'est mauvaise
    Je ne pense pas que je savais ce que j'avais
    Pourquoi penser que que cette grande inquiétude
    Ne mettras jamais fin à ton choix
    Maintenant que je trouve qu'aucune voie n'est mauvaise
    Je ne pense pas que je savais ce que j'avais

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  • Je vous écrit à la lumière du coucher de soleil très beau.

    Vous me demandez mon portrait,
    Mais peint d'après nature :
    Mon cher, il sera bientôt fait
    Quoiqu'en miniature.

    Je suis un jeune polisson
    Encore dans les classes ;
    Point sot, je le dis sans façon
    Et sans fades grimaces.

    Oui, il ne fut babillard,
    Ni docteur en Sorbonne,
    Plus ennuyeux et plus braillard
    Que moi-même en personne.

    Ma taille à celle des plus longs
    Las ! n'est point égalée ;
    J'ai le teint frais, les cheveux blonds
    Et la tête bouclée.

    J'aime et le monde et son fracas,
    Je hais la solitude ;
    J'abhorre et noises et débats
    Et tant soit peu l'étude.

    Spectacles, bals me plaisent fort,
    Et d'après ma pensée
    Je dirais ce que j'aime encore
    Si je n'étais au Lycée.

    Après cela, mon cher ami,
    L'on peut me reconnaître ;
    Oui, tel que le bon Dieu me fit,
    Je veux toujours paraître.

    Vrai démon pour l'espièglerie,
    Vrai singe pour la mine,
    Beaucoup et trop d'étourderie,
    Ma foi, voilà Pouchkine.

    (écrit en français, 1814)

    Alexandre POUCHKINE

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  • En l'honneur de la sortie de Pokémon NOIR et BLANC voici le nouveau thème du blog.

     J'espère qu'il vous plaira et un sondage avec !

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  • EDIT : dsl je mettais trompée de code HTML, erreur rectifiée c'est la bonne vidéo

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  • N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde ;
    Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde
    Que toujours quelque vent empêche de calmer.
    Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre ;
    C'est Dieu qui nous fait vivre,
    C'est Dieu qu'il faut aimer.

    En vain, pour satisfaire à nos lâches envies,
    Nous passons près des rois tout le temps de nos vies
    A souffrir des mépris et ployer les genoux.
    Ce qu'ils peuvent n'est rien; ils sont comme nous sommes,
    Véritablement hommes,
    Et meurent comme nous.

    Ont-ils rendu l'esprit, ce n'est plus que poussière
    Que cette majesté si pompeuse et si fière
    Dont l'éclat orgueilleux étonne l'univers ;
    Et dans ces grands tombeaux, où leurs âmes hautaines
    Font encore les vaines,
    Ils sont mangés des vers.

    Là se perdent ces noms de maîtres de la terre,
    D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ;
    Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ;
    Et tombent avec eux d'une chute commune
    Tous ceux que leur fortune
    Faisait leurs serviteurs.

     François de MALHERBE (1555-1628)

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